Comme développé dans la description de notre conception pédagogique du tango argentin, chacun de nos cours de tango commence par une préparation corporelle, qui cherche à créer une disponibilité sensible du corps et du mental, et qui reprend systématiquement les fondamentaux selon la thématique du cours.
Nous l'avons dit, puisque la préparation corporelle et reprise des fondamentaux se ressemblant à différents niveaux, chacun de nos cours intègre 2 niveaux :
(cf. >conception de nos cours).
Pour nos élèves moins avancés du cours A (débutant/intermédiaire I), comme pour les élèves plus avancés, nous proposons un cours de deux heures. Ces deux heures nous paraissent nécessaire, afin d'intégrer la préparation corporelle et la reprise des fondamentaux à un travail sur les figures et sur l'improvisation musicale.
La première partie du cours A, (de 19h00 à 20h30), est une partie commune aux débutant et aux intermédiaire I. Dans cette partie, nous commençons avec la préparation corprelle et les exercices sur les fondamentaux que nous reprenons, de façons diverses, en début de chaque cours (quelque soit le niveau).
Puis nous poursuivons avec la thèmatique du cours : l’apprentissage d’une nouvelle figure, variations d'une figure travaillée, combinaison de figures anciennes, improvisation musicale...
Dans cette première partie, les corrections et les changements de partenaire se font dans le respect des niveaux.
La deuxième partie du cours, déstinée aux seuls intermédiaire I, commence alors. Nous poursuivons le thème principal, qui nous avons abordé dans la première partie, mais en complexifiant la danse : des combinaisons ou des figures plus difficiles, mais qui naissent de la même thématique (ou « familles de figures »). Les exigences seront propre à ce niveau : exigences de qualité du mouvement, de l'improvisation rythmique, de l'abrazo et du contact entre les partenaires...
Le cours se termine à 21h00.
C’est un travail sur deux niveaux et deux heures que nous proposons aux élèves intermédiaire I, pour le tarif d’un cours. Ainsi nous voudrions créer une perméabilité entre les différents niveaux, de créer toujours des liens entre, d'une part, la reprise des "bases" et, d'autre part, le cheminement vers un travail plus profond, plus complexe, plus difficile aussi.